Nos Services

Bienvenue chez Darkina Tattoo, votre salon de tatouage à Béziers. Nous sommes spécialisés dans l’art du tatouage depuis plus de 5 ans et nous sommes fiers de vous offrir des créations artistiques uniques et professionnelles.

Notre équipe d’artistes tatoueurs expérimentés est passionnée par l’art du tatouage et sait comment transformer vos idées en œuvres d’art sur votre peau. Que vous cherchiez un tatouage traditionnel, réaliste, tribal, géométrique ou personnalisé, nous sommes là pour donner vie à votre vision.

– Jessica Rodriguez

Nos Différents Types De Tatouage

LE OLD SCHOOL
Le tatouage old school ou américain traditionnel, tire ses origines, comme son nom l’indique, des Etats-Unis des années 1930 à 50. Les tatouages old school sont composés de contours aux traits épais et de remplissages assez simplistes, en couleurs basiques ou bien en noir et gris. Les couleurs à disposition des artistes à l’époque étant assez limitées et les dermographes étant eux aussi très rustiques, les dessins restent très simples mais c’est également ce qui leur donne leur force graphique. Les thèmes explorés empruntent le plus souvent à l’univers marin, à l’imagerie des peuples natifs d’Amérique du Nord ou bien encore à l’univers carcéral. Roses, hirondelles, bateaux, animaux sauvages ou pin-ups sont autant de motifs devenus des classiques à travers les âges. Parmi les grands noms du old school, on peut bien évidemment citer Sailor Jerry (Norman Keith Collins) aux USA ou Georges Burchett en Angleterre.

LE NEO-TRADITIONNEL
Fils spirituel du old school, le style néo-traditionnel ou néo-trad en reprend quasiment tous les codes et l’imagerie pour les moderniser avec un traitement graphique contemporain. Les couleurs y sont ainsi plus vibrantes et nuancées, les contours moins épais, les ombrages plus subtils etc…

LE JAPONAIS
Le tatouage japonais est un style qui a traversé toutes les époques depuis des centaines d’années pour conserver, aujourd’hui, une codification stricte et un graphisme reconnaissable parmi mille. Le tatouage traditionnel japonais bénéficie d’un socle culturel très fort et chaque motif utilisé fait appel à une symbolique bien précise quasiment plus importante que son aspect esthétique. Ce dernier est pourtant très codifié, à base de lignes assez épaisses et d’aplats de couleurs éclatantes, des ombrages précis et contrastants, des sujets de grande voire de très grande taille qui recouvrent de grands pans du corps.

LE NEW SCHOOL

Le style new school apparaît aux États-Unis dans les années 70 et s’il reprend un certain nombre de codes du tatouage old school, c’est pour mieux les faire exploser et pousser plus loin la créativité. Directement inspiré de la pop culture, du graffiti, des cartoons et des comics, le new school se compose de lignes épaisses, de couleurs généralement très vives et d’une approche souvent exagérée (cartoonesque) des sujets. Ce style a aussi eu recours au freehand pour créer des pièces plus dynamiques que celles des années 50 .

LE REALISME
Comme dans tous les arts, il existe forcément une école réaliste. Les artistes de tatouage réalistes cherchent, comme leurs prédécesseurs en peinture, à atteindre un niveau de réalisme toujours plus grand. Bien entendu, l’exercice principal des artistes réalistes est le portrait, qu’il soit humain ou animalier. Dans le réalisme, une attention toute particulière est apportée aux ombrages et à la lumière. Les lignes sont le plus souvent quasi-absentes du travail réaliste. Les pièces de tatouages réalistes sont souvent assez grandes.

LE MICRO-REALISME
Petit-frère du réalisme, le micro-réalisme cherche à le moderniser. Les artistes micro-réalistes travaillent à une échelle plus petite et amènent donc plus de détails dans le travail du réalisme, ce qui permet notamment de réduire la taille des pièces (mais ce n’est pas une obligation). Ils et elles poussent le travail des ombrages à son paroxysme sur des zones de extrêmement réduites. Comme pour le réalisme, le micro-réalisme se passe quasi totalement des lignes pour ne privilégier que des ombrages extrêmement doux. Ce style a aussi donné naissance à la vague d’artistes Sud-coréen.e.s qui se sont spécialisé.e.s dans les toutes petites pièces micro-réalistes en couleur.

LE TRASH POLKA
Le trash polka est un style très précis qui est sorti de la tête de deux artistes allemands dans le studio Buena Vista Tattoo Club à Würzburg. Au début des années 2000, Simone Pfaff et Volker Merschky, un couple de tatoueurs, artistes, photographes, graphistes et designers d’intérieur, ont en effet commencé à créer des pièces à quatre mains, dans un style graphique ultra remarquable. Combinaison d’éléments réalistes, graphiques et de typographies explosées, le trash polka se concentre sur deux couleurs uniquement, le noir et le rouge. Les pièces sont souvent imposantes et leur composition dynamite les codes graphiques qui existaient jusque-là dans le tatouage. Simone et Volker veulent aussi bien créer des œuvres graphiquement fortes que des pièces visuelles rythmées (d’où le nom de trash polka).

LE FINEWORK
Le finework n’est pas à proprement parler un style de tatouage mais plutôt une approche assez large qui regroupe plusieurs styles. Il s’agit ici, grâce aux progrès qui ont été réalisés sur les aiguilles et les machines de tatouage, de privilégier la finesse des lignes, des ombrages ou du dotwork. Le finework peut ainsi recouvrir plusieurs styles comme le fine line (tatouages assez épurés aux lignes très fines et aux compositions aériennes), le micro-réalisme etc. Plus qu’un style le finework est un ensemble de méthodes et d’outils de travail qui privilégient la finesse dans toutes les approches. Les artistes finework abordent aussi bien des thèmes floraux ou animaux que géométriques, illustratifs ou photo-réalistes. Le Studio Karbone est un salon entièrement dédié au finework avec des artistes aux identités bien marquées.

L’ORNEMENTAL
S’il est bien un style de tatouages qu’il est difficile de définir, il s’agit de l’ornemental. Sans doute la faute à une appellation trop large qui regroupe en fait une multitude de styles comme les tatouages berbères, croates & bosniaques, polynésiens, marquisiens… Le point commun entre tous ces tatouages est l’utilisation d’éléments ornementaux, à portée symbolique ou non, plutôt que d’éléments figuratifs. Les tatouages ornementaux ont aussi comme caractéristique de se retrouver sur des emplacements assez peu tatoués dans les autres styles, comme par exemple les mains et les doigts, les tempes, le visage, le crâne, les pieds ou les tétons. Depuis quelques années, le style ornemental a le vent en poupe en Europe avec des artistes qui développent des compositions originales, non rattachées à une culture en particulier mais privilégiant les motifs fins qui viennent habiller la peau comme des bijoux.

LE STYLE MANGA
Très populaire depuis 5 bonnes années, un certain nombre d’artistes se sont spécialisé.e.s dans les créations à base de personnages de mangas, que ce soit en noir et blanc ou bien en couleurs, ce style qui reprend tous les codes des mangas est encore très prisé.

LE BIOMECANIQUE
Style phare apparu à la fin des 90’s, le biomécanique a malheureusement quasiment disparu de la scène du tatouage aujourd’hui. A une époque où l’on entrevoyait les premières interactions possibles entre l’homme de chair et la machine, le style biomécanique se voulait une préfiguration artistique de la fusion entre le vivant et le mécanique ou l’électronique. Vison tout droit sortie des univers de science-fiction et de la BD comme RanXerox les artistes biomécaniques, le plus souvent issus des courants réalistes ou new school s’en sont donné à cœur joie pour créer ces mélanges de chair et de pistons, de matière organique et de semi-conducteurs.

L’IGNORANT STYLE
Style apparu aux Etats-Unis au début des années 2010 sous l’impulsion du graffeur français Fuzi, l’ignorant style se veut ultra minimaliste et cherche, comme dans de nombreux courants d’art contemporain avant lui, à casser la recherche du beau et de l’esthétique pour privilégier le moment créatif et la performance. Ce style, souvent porté par des graffeurs ou des étudiant.e.s des beaux-arts s’étant lancé.e.s dans le tatouage connaît actuellement son heure de gloire parmi les client.e.s issu.e.s des écoles d’art ou des milieux alternatifs et de la performance. Jouant volontairement sur des dessins naïfs et inachevés, l’œuvre ici, ne souhaite pas être jugée sur son résultat mais sur son processus.

L’ABSTRAIT
Les tatouages abstraits sont généralement l’œuvre d’anciens artistes peintres ou graphistes qui viennent dans le monde du tatouage avec leur bagage. Tatouages composés de figures géométriques, de grandes lignes abstraites ou encore de taches façon peinture ou encre de chine, le style abstrait est entièrement tourné vers le mouvement et la dynamique et se construit très souvent en freehand pour adapter toujours plus le tatouage aux courbes et mouvements du corps.

LE MINIMALISME
S’il est souvent rapproché, à tort, du mouvement ignorant, le style minimaliste s’ancre dans une véritable recherche esthétique, à l’instar de son équivalent en peinture, l’art naïf avec le Douanier Rousseau par exemple. Qu’il soit en noir et blanc, sans ombrages ou bien en couleurs avec des aplats bruts, le style minimaliste cherche l’épure et la force de chaque élément graphique. Rien ne doit venir troubler la lecture de l’œuvre qui doit être aussi forte qu’elle est simple. Aucune place n’est laissée au superflu, aucune fioriture ne doit gêner la lecture des lignes.

LES TATOUAGES TRADITIONNELS SYMBOLIQUES
Sous cette grande catégorie, très artificielle, nous voulons parler des multiples formes de tatouages traditionnelles qui existent depuis des centaines d’années, parfois des millénaires, à travers le monde. S’il est sans doute maladroit de les regrouper tous ensemble, ces types de tatouages ont pour point commun d’avoir une valeur symbolique très forte et de s’inscrire dans un héritage culturel riche et parfois même dans des démarches sacrées.

On peut citer ici les tatouages polynésiens qui se sont répandus dans tout le triangle polynésien, avec des variantes esthétiques et symboliques notables. On regroupe sous cette grande étiquette de tatouage polynésien, les tatau tahitiens, les tahua’a tatau maoris, les tuhuka des îles Marquises, les tatouages samoans et d’autres encore. Longtemps interdits par les lois imposées par les missionnaires européens, toutes ces formes de tatouages culturels et sacrés ont connu un renouveau dans les années 1980 au point de devenir des étendards d’un combat culturel et identitaire.

Les tatouages berbères, qui existent depuis l’antiquité, ont failli disparaître au milieu du XXème siècle mais grâce à de jeunes artistes soucieu.x.ses de renouer avec leur culture ils connaissent désormais un renouveau. Composés de formes géométriques, de points et de lignes fines, ces symboles ont aussi bien une fonction esthétique (les bijoux ont toujours eu beaucoup d’importance dans la culture Amazigh) que symbolique avec la représentation de valeurs fortes, d’épisodes de la vie ou bien d’un statut social.

Les tatouages bosniaques, ou bocanje, avaient eux aussi quasi disparus malgré leur histoire remontant jusqu’à l’antiquité. Passant de symboliques païennes à des images plus religieuses, les tatouages bosniaques ont traversé les siècles pour mieux renaître aujourd’hui sous l’impulsion de jeunes artistes attaché.e.s à redécouvrir cette histoire. Composés de formes simples et symboliques comme les jelica, kolo ou ograda.

Les Sak Yant ou les tatouages traditionnels thailandais (et plus largement en Asie du Sud-Est) n’ont, eux, jamais disparus mais ont également connu un renouveau récemment avec de jeunes artistes désireux de renouer avec leur culture familiale. Composé de représentations symboliques et de prières les sak yant ont longtemps été l’apanage des moines boudhistes. Riches d’une existence millénaire ils peuvent désormais être pratiqués par des non moines mais les prières doivent toujours être activées et bénies par des religieux.

Cover Tattoo

Le cover tattoo est une technique qui permet de recouvrir un tatouage existant en le remplaçant par un nouveau tatouage. Les raisons pour lesquelles les gens choisissent de recouvrir un tatouage peuvent varier. Dans certains cas, ils peuvent vouloir cacher un tatouage qu’ils n’aiment plus ou qui ne correspond plus à leur style ou à leur personnalité actuelle.

Tatouage Médicale

Le tatouage médical, également appelé dermopigmentation, est une alternative efficace pour camoufler des cicatrices. Proche du maquillage semi-permanent, il permet une réparation esthétique du visage et de certaines parties du corps.

Le tatouage médical : le tatouage des cicatrices
Ce n’est pas une “gomme à cicatrices”, mais une technique qui permet de masquer temporairement des lésions cutanées, dans un but esthétique. Chirurgies, accidents traumatiques, séquelles de brûlure laissent parfois de disgracieuses cicatrices. Le tatouage médical les corrige, elles deviennent ainsi moins visibles et plus faciles à dissimuler. Le tatouage médical peut aussi être intéressant pour combler une zone du cuir chevelu dégarnie, ou pour redessiner des sourcils.

La technique
À l’aide d’un appareil électrique et d’aiguilles : le dermographe , des pigments sont implantés dans le derme, afin de teinter la peau ou la muqueuse, pour corriger la différence de couleur entre la cicatrice et la peau . Ils se présentent sous une forme de solution stable de poudres colorées. Les colorants utilisés sont stériles, d’origine minérale ou organique.

Selon l’importance de la zone à traiter, plusieurs séances peuvent être nécessaires pour obtenir la couleur souhaitée, afin d’être au plus proche de la carnation naturelle de la peau. L’effet de la dermopigmentation dure entre 3 à 5 ans.

Attention : le tatouage médical ne peut être réalisé que sur une cicatrice définitive et non si elle est encore rouge ou évolutive.

Maquillage Permanent

Le maquillage permanent et l’art du tatouage partagent indéniablement des similarités, ces deux techniques traçant leurs œuvres esthétiques à même la peau. L’outil principal au cœur de ces deux professions porte d’ailleurs le même nom : le dermographe. L’un est en effet un dérivé de l’autre.

Si on remonte aux débuts du maquillage permanent, dont on retrouve des traces dès les années 1920, on se rend compte qu’il s’agissait en réalité bel et bien de tatouages effectués à même le visage dans des buts esthétiques. Il s’agissait à l’époque surtout de redessiner le contour des traits du visage. Cette mode n’a que très peu pris néanmoins, car les outils de l’époque étaient trop grossiers pour un travail demandant de la finesse.

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